Le premier choix Spirotech pour Strathclyde

Projet: Strathclyde Université | Place: Glasgow (Royaume-Uni)

Les exigences de maintenance des bâtiments de l’université de Strathclyde furent rationalisées grâce à un engagement à long terme en faveur de l’éradication de la contamination présente dans l’ensemble de ses systèmes de chauffage et de refroidissement en partenariat avec Spirotech.

Durant les sept dernières années, Andy McWatt, ingénieur mécanicien senior à l’université de Strathclyde, a installé uniquement des produits Spirotech sur l’ensemble des systèmes neufs et existants de l’université, suite à d’excellentes expériences avec la marque ; notamment la transformation des systèmes de chauffage et de refroidissement du bâtiment universitaire SIBS Robertson.

« Le bâtiment SIBS constitue une zone très sensible de notre prestigieuse unité biomédicale ainsi qu’un espace dans lequel un contrôle précis de la température est essentiel », explique McWatt. « Dans ce bâtiment particulier, nous rencontrions de réels soucis avec des débris qui obstruaient les soupapes de commande de la batterie de réchauffage, une situation encore compliquée par le fait que l’accès aux soupapes est compliqué. »

L’installation du Spirotech SpiroVent Superior en 2008 a marqué le début du partenariat avec l’entreprise, lequel a débouché sur une meilleure fonctionnalité du système de par le site ainsi que sur la suppression massive des problèmes de contamination au sein des bâtiments neufs et anciens.

Andy McWatt, Ingénieur mécanicien senior, université de Strathclyde

« Étrangement, le seul système de l’ensemble du complexe qui nous cause à présent des problèmes répétés est celui qui a été soumis à un dosage élevé dans le passé. »
Andy McWatt, Ingénieur mécanicien senior, université de Strathclyde

« Nous sommes extrêmement proactifs en ce qui concerne la conception ainsi que la spécification de nos systèmes et nous percevons l’avantage lié à l’adoption d’une perspective à long terme focalisée sur la santé et la fonctionnalité du système plutôt que de se braquer sur les coûts à court terme. »

« À travers le travail réalisé ici à Strathclyde, nous avons montré l’intérêt d’adopter l’approche qui est la nôtre en nous concentrant sur l’extraction de l’air par le dégazage et en ayant recours à un programme d’utilisation de produits chimiques peu étoffé. Étrangement, le seul système de l’ensemble du complexe qui nous cause à présent des problèmes répétés est celui qui a été soumis à un dosage élevé dans le passé. »

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